Avec les années et les enseignements reçus, j’ai de quoi être plus sûre de quelques petites choses :

1 Lorsqu’une personne me parle, son discours est superflu. Plutôt que l’écouter, je m’attache à la ressentir, à voir quelle lumière, quelle couleur elle dégage. Je passe de l’illusion à la réalité. En agissant ainsi, je lui rappelle sa partie vraie, je suis totalement connectée à elle.

2 Chaque personne qui entre en communication avec moi me met en lien avec son enfant intérieur (et le mien). Je l’accueille «maternellement», en douceur, sans jugement et dans l’amour inconditionnel. Je l’accueille «paternellement», en la rassurant sur l’avenir. Ainsi, je lui signifie qu’elle va trouver ses solutions.

3 Tout est possible, le pire comme le meilleur. Et je visualise toujours que tout ira bien.

4 Quand ça ne fonctionne pas comme je veux, c’est qu’il y a une bonne raison à cela. Je comprendrai plus tard.

5 C’est parce que je vis des problèmes dont il faut que je me sorte que je grandis en compréhension et donc en sagesse.

6 Les difficultés que je suis entrain de vivre sont le signe d’un changement en cours. Je les accepte et même je les en remercie.

7 Chaque fois que je juge et pointe le défaut d’une personne, j’ai ce défaut en moi.  Et bonne nouvelle, chaque fois que je vois une qualité chez une personne, c’est que je l’ai en moi.

8 « Who’s the boss ? » répétait Louise, une de mes enseignantes. Je dois nourrir le positif, je travaille à le laisser pas envahir mon territoire. Je suis maître à bord.

9 Je sais que j’ai un côté sombre. Plutôt que lutter contre lui, je l’aime, ainsi il se transforme en clarté, il nourrit positivement mon entourage et moi-même. « Je m’aime et je m’accepte complètement » dit-on en EFT. 

10 Je n’ai rien à « faire », juste à « être » comme me l’a dit un jour François, un autre de mes enseignants. Il s’agit juste de vibrer la paix et l’amour.

11 Je fais tout pour aimer ce que je fais mais aussi de faire ce tout ce que j’aime.

12 Chaque fois que je me justifie ou que je rationalise, je mens ou je me mens. Je veux juste convaincre ou me convaincre que j’ai raison.

13 Je suis de plus en plus prudente lorsque je prends la parole. Je sais, enfin, que je ne sais rien.

 

ET VOUS ? De quoi êtes-vous sûr aujourd’hui ?

 

La vie est une grande pièce de théâtre où nous sommes tous acteurs.
Je ne suis pas obligée de jouer le même rôle toute ma vie.

 

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Marie Bertolotti