Pour apaiser l’esprit, réduire l’insomnie, calmer l’inquiétude, le stress, l’anxiété croissante, etc… qui chaque jour impactent, chamboulent, bouleversent nos enfants sur le plan psychologique et physique, comment peut-on faire ?
Réponse :
En reprogrammant chaque soir leur cerveau au calme, au sentiment de sécurité, au bonheur, à l’espoir, à ce qui est beau, bon, grand et positif, et plus encore… Pour qu’ils puissent intégrer que non seulement “Ça va bien aller !” mais que “Ça va déjà bien maintenant, là, ici et maintenant !”
Méthode simple et efficace
Pratiquez simplement ce petit jeu/exercice tous les soirs :
Avant de le coucher, invitez votre enfant à identifier, et à vous dire à voix haute au moins trois moments joyeux, gratifiants, ou plus, qui se sont bien déroulées et qui lui ont fait plaisir, lui ont apporté de la joie, de la satisfaction, du bonheur pendant sa journée.
Le but du jeu/exercice est de reprogrammer le cerveau. Celui-ci a tendance à remarquer, à retenir et à emmagasiner les menaces et le négatif. En agissant ainsi, vous l’entrainez à les remplacer par des énergies et vibrations apaisantes, réconfortantes et sécurisantes au moment du coucher. Cela permet de redonner de l’importance aux sensations bienveillantes qu’il a ressenti au cours de la journée.
C’est une manœuvre simple mais efficace pour tous (même les adultes). Un petit jeu/exercice rempli d’amour, de compassion et de bienveillance envers tous les enfants/adultes du monde.
Que se passe-t-il en fait ?
En choisissant simplement trois moments joyeux de leur journée, vos enfants vont transporter de belles énergies consciemment et avec un sourire aux lèvres dans leur subconscient et peut-être aussi dans leurs rêves. Ils se réveilleront plus confiants, joyeux et avec l’espoir d’un aujourd’hui calme et sécuritaire et de lendemains meilleurs.
Dans le thème
“Il y a 2 théories pour cultiver les salades, me confia mon père un jour. Il y a des gens qui croient que plus la salade endure des choses difficiles au début de sa croissance plus elle sera résistante par la suite et deviendra belle. Et puis il y a ma théorie, celles des petites cloches en verre, qui consiste à protéger la salade du mieux que l’on peut et à la recouvrir d’amour.”
Je crois que cette théorie marche bien. Il y a peu de temps, alors que j’ai voulu à mon tour planter des salades dans mon jardin, je me suis rappelé cette phrase.
Je me suis alors rendu compte que mon père avait agi avec moi de la même manière qu’avec ses salades.
Je ne suis certes pas parfait, mais je puis vous certifier que la théorie de la petite cloche marche plutôt bien.”
Tiré du livre d’Olivier Larissa “La théorie de la petite cloche”
Source : Jude Chiasson
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Marie Bertolotti
desirdetre.com
